Actuellement le peintre sculpteur Christian Debout expose à Marseille dans un somptueux lieu « FINE ART INVEST » de 600 mt, au 36 rue de la République qui accueille dans son espace des plasticiens contemporains comme Seen, Bernard Brandi, Christian Debout, Combas, Jean Diego Thielen... et bien d’autres. Aperçu multiple, cet éventail sur L’art contemporain.
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Le livre de la rentrée, "Comédies Françaises" d’ Eric Reinhardt. Notre héros,
Dimitri idéaliste révolté ou le Verbe littéraire sous toutes ses facettes,
romanesque et brutal, monde de privilèges, zones d’haute tension,
d’harcèlement politique, multiples icônes féminins, énigme autour du genre,
a la Donna Haraway et son contraire, amours pluriels...
L’ Univers du Pouvoir, et sa pression dans le « territoire »
de l’innovation, de l’Art, d’Internet.... Ses débuts, avec L. Pouzin versus A. Roux...
Le Sexe, et ses corolaires, le Théâtre (sa passion). Il va parcourir un moment extreme de la
peinture française, les Surréalistes, vérité historique, et haute fiction d‘humour, et de délire
littéraire....
L’Architecture urbaine....L’auteur nous « pousse » vers les déambulations du personnage autour
de quelques villes, rêvant de ruelles biscornues, aux anciens pavés, des trottoirs d’autrefois, se
refusant à assumer la réalité de notre cadre contemporain, le forcing urbanistique de rues
piétonnes, dont l’ennui se mêle a la certitude d’être, que « l‘Homus consommateur » formatage
unique dans ce décor aseptisé, ou disparait toute poésie... Dimitri se perd à Madrid, cherchant
désespérément la rencontre, à Paris criant le désir de l’assouvissement de cette rencontre
essentielle, à Bordeaux la dérive vers Anais ,« la velue »... Et à Perros Guirrec, le rendez-vous
fatal... Livre insolite et sonore, où toute l’organisation narrative, devient "textures organiques »,
planant dans un virtuel charnel...d’une obsessionnelle esthétique composite...
stepffer-tiphaine
L’hebdomadaire satirique a dépassé les 200 000 abonnés, contre seulement 10 000 avant l’attentat du 7 janvier qui a décimé sa rédaction.
Le cogérant de "Charlie Hebdo" a précisé que "le montant des dons (2,37 millions d’euros, NDLR) sera intégralement reversé aux ayants droit des victimes". © BOB DEWEL / ONLY FRANCE
L’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo a dépassé les 200 000 abonnés, contre 10 000 avant l’attentat du 7 janvier qui a décimé sa rédaction, a annoncé mardi son co-gérant Éric Portheault. "Nous avons dépassé les 200 000 abonnés", a dit Éric Portheault, soit un montant global de près de 14 millions d’euros à raison de 70 euros l’abonnement en moyenne. "Les recettes du journal (ventes et abonnements, NDLR) seront consacrées intégralement à sa pérennisation, quel qu’en soit le montant. Il n’y aura pas de dividendes pour les actionnaires", a-t-il souligné. Il a précisé par ailleurs que "le montant des dons (2,37 millions d’euros, NDLR) sera intégralement reversé aux ayants droit des victimes".
En cumulant ventes, abonnements, dons et aide publique, Charlie Hebdo pourrait recueillir près de 30 millions d’euros, une manne pour le magazine qui connaissait des difficultés financières avant l’attentat. Déjà tiré à 7,3 millions d’exemplaires, vendus 3 euros pièce, le numéro des survivants, paru le 14 janvier, devrait lui rapporter plus de 10 millions d’euros nets si tous les exemplaires sont écoulés. Le journal touchera en effet la totalité des recettes pour le premier million d’exemplaires (soit 3 millions d’euros), dans le cadre d’une opération de solidarité de toute la chaîne d’impression et de distribution, qui a accepté de travailler gratuitement.
Comme habituellement pour ses ventes, le journal percevra en outre environ 40 % des recettes sur les 6 millions d’exemplaires restants, soit quelque 7,5 millions d’euros supplémentaires.