Editions Tiphaine
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samedi 13 mai 2023
   
Brèves
CHRISTIAN DEBOUT peintre sculpteur// INTERVIEW du MUSEE de la POSTE de PARIS
mercredi 17 février

Actuellement le peintre sculpteur Christian Debout expose à Marseille dans un somptueux lieu « FINE ART INVEST » de 600 mt, au 36 rue de la République qui accueille dans son espace des plasticiens contemporains comme Seen, Bernard Brandi, Christian Debout, Combas, Jean Diego Thielen... et bien d’autres. Aperçu multiple, cet éventail sur L’art contemporain.

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https://www.youtube.com/user/ladresse2009

ERIC REINHARDT "COMEDIES FRANCAISES" Collection Blanche GALLIMARD
samedi 12 septembre

Le livre de la rentrée, "Comédies Françaises" d’ Eric Reinhardt. Notre héros,

Dimitri idéaliste révolté ou le Verbe littéraire sous toutes ses facettes,

romanesque et brutal, monde de privilèges, zones d’haute tension,

d’harcèlement politique, multiples icônes féminins, énigme autour du genre,

a la Donna Haraway et son contraire, amours pluriels...

L’ Univers du Pouvoir, et sa pression dans le « territoire »

de l’innovation, de l’Art, d’Internet.... Ses débuts, avec L. Pouzin versus A. Roux...

Le Sexe, et ses corolaires, le Théâtre (sa passion). Il va parcourir un moment extreme de la

peinture française, les Surréalistes, vérité historique, et haute fiction d‘humour, et de délire

littéraire....

L’Architecture urbaine....L’auteur nous « pousse » vers les déambulations du personnage autour

de quelques villes, rêvant de ruelles biscornues, aux anciens pavés, des trottoirs d’autrefois, se

refusant à assumer la réalité de notre cadre contemporain, le forcing urbanistique de rues

piétonnes, dont l’ennui se mêle a la certitude d’être, que « l‘Homus consommateur » formatage

unique dans ce décor aseptisé, ou disparait toute poésie... Dimitri se perd à Madrid, cherchant

désespérément la rencontre, à Paris criant le désir de l’assouvissement de cette rencontre

essentielle, à Bordeaux la dérive vers Anais ,« la velue »... Et à Perros Guirrec, le rendez-vous

fatal... Livre insolite et sonore, où toute l’organisation narrative, devient "textures organiques »,

planant dans un virtuel charnel...d’une obsessionnelle esthétique composite...

stepffer-tiphaine

sur le web : eric reinhardt
Sur le Web
Mineo Kuroda
Le site de Mineo Kuroda.
Maison d’édition les Presses du Midi
Le site des éditions des presses du midi.
Brigitte Sillard
Site de Brigitte Sillard
Cabanon Productions
Cabanon Pruduction : présentation des livres de Guy Tournaye.
JEAN DEGOTTEX // GALERIE « PASCAL LAINE » A MENERVE
samedi 31 décembre

JEAN DEGOTTEX

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La place de Jean Degottex ( 1918- 1988) dans l’histoire de la peinture contemporaine en France est maintenant largement reconnue. On le rattache souvent au mouvement d’après-guerre dit de l’ « abstraction lyrique ». En réalité, son œuvre est un parcours original et singulier de 40 ans. Chaque période épuisant une possibilité formelle, ouvrant la voie à une nouvelle possibilité. Du geste au signe, du signe à l’écriture, de l’écriture à la ligne. Autodidacte et libertaire de formation, il passe définitivement à l’abstraction en 1951, qui est aussi l’année où il reçoit le prix Kandinsky.En 1955, il rencontre André Breton qui voit dans sa peinture, un nouvelle illustration de l’ « écriture automatique » et lui signale aussi son affinité spontanée avec la pensée et la pratique du bouddhisme Zen . Des lors il ne cessera de développer son art au plus prés des notions orientales de « vide » et d’« immédiateté ». A partir de 1966 ses séjours à Gordes se font de plus plus longs et fréquents. Sa compagne Renée Beslon connaissait bien Gordes et ses artistes depuis la fin des années quarante . A Sénanque, en 1979, il expose la série de ses Dépli-bleu, réalisés en plein air sur la vaste terrasse qu’il avait aménagée parmi les restanques qui bordent la route de Murs . Nous allons ensemble, sur l’ancienne décharge de chantier, chercher les matériaux les plus pauvres et les plus abandonnés. Sur des briques de démolition, des papiers sacs de ciment , des poutres de bois brut, il dépose ensuite la marque de son propre regard. En 1981 , il reçoit le Grand Prix National de Peinture. Sa méditation s’oriente progressivement sur le support et la matérialité de l’œuvre. Ainsi ses « papiers » ( le mot dessin est exclu de son vocabulaire) peuvent montrer leur grain et leur texture interne, magnifiée par déchirure, scarification, surcollage puis arrachage. Le pinceau n’a plus droit de cité. Son œuvre restera celle d’un extrême minimalisme où jamais la rigueur ne prend le pas sur une extrême sensibilité. Dominique Bollinger

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