Exutoire
Fernando Arrabal
mercredi 18 octobre 2006

Seulement je sais que je ne sais rien sur des histoires comiques. Lorsque j’ai choisi plutôt d’être Saint que Nobel.

A l’humoriste qui dit « parle-moi d’humour » le naïf l’implore « Parle-moi d’amour »

Mais si le comique étais la pitrerie qu’on ne peut faire que le Jour des Innocents ? Alors je pourrais croire le violoniste qui me dit qu’il joue d’oreille en se mettant l’archet dans le tympan.

Sans le métier de comique il n’y aurait pas d’humour (ni farces) puisque le célibat est chaque fois de moins en moins héréditaire.

Un de ceux « connaisseurs agrée. » d’humour et de plaisanteries à cessé d’être masochiste, il jouissait trop.

Certainement ce sage pourrait dire de choses très intéressantes sur les pitreries, s’il disait le contraire de ce qu’il pense.

C’est un si merveilleux vétéran, qu’il faisait déjà des plaisanteries quand la Mer Morte était à peine malade.

Je dois reconnaître que la première chose qui me vienne à l’esprit lorsque j’entends le mot « blague » ou plaisanterie c’est sortir de ma poche revolver, mon « Saint Augustin ».

Quand on ne me demande pas ce qu’est le temps je crois le savoir, mais si on me pose la question je ne sais plus répondre.

Aussi en 1848 Marx à publié son désopilant « Manifeste du PC ». Et Tackeray son assommant « Livre pour les snobs » et en moins de deux minutes dés la première page, j’ai perdu dix heures.

Marx après avoir « détroussé » sa bonne à vertement exigé, avec le même enthousiasme, que ses domestiques ne se laissent pas abuser par les capitalistes. Eve a préféré Adam à l’Eden.

Le Dandy ‘( après avoir fait de son majordome le père biologique de ses enfants) a déclaré : « Il n’y a résolument absolument rien à changer en Angleterre, sauf le climat »

Depuis que mon ami révolutionnaire a acheté la collection complète du « Monde Ouvrier » (reliure de luxe) il a put enfin connaître la classe ouvrière (maintenant il vend de préservatifs avec un certificat du code pénal).

Freud a dit et répété a maintes reprises que l’humour doit être concis (mais quel auteur , dommage qu’il écrivait)

La blague préféré de Freud et qu’il a analysé jusqu’à satiété, je résume. Un lundi, un condamné a être pendu, disait : «  :Elle commence bien ma semaine ».

Je viens d’ouvrir un essais exhaustif « Sur l’humour et les blagues » It’s closed

Le nouveau Pont de Londres et le Musée de Guggenheim de Bilbao . Sont-ils deux plaisanteries ? En tout cas et humblement je les célèbre comme deux modèles presque impossibles à dépasser des déchetteries Kitsch tressées d’humour involontaire

Dans la plaisanterie je ne peut pas distinguer (concrètement) l’humour de l’ironie ou du comique, ou de la bouffonnerie, .mais mon ami athée dit que le septième jour Dieu créa l’alibi et s’est reposé.

Les professeurs de l’université sur ce sujet là ont découvert l’humour rose, bleu, vert, et noir. Selon ma modeste idée ,le dernier efface les autres et domine comme pléonasme.

Au plus haut du paradoxe on parle avec beaucoup d’emphase de l’utopie, avec haine de l’amour, avec sérieux de l’humour. Et des blagues avec beaucoup d’astuce .Et même avec nostalgie les onanistes qui font leurs lune de miel en solitaires.

Mes téméraires lecteurs savent l’impossibilité de traduire de l’anglais le mot « hhyumor » Tout le contraire en espagnol on le traduit comme « Le Ministère de la croissance » et la « nouvelle cuisine national ».

Le gaspacho français se prépare avec des épices comme le sel, le poivre, du persil et de la tomate ....et après on tire la chasse.

Blague : le nageur de fond , de la tour Eiffel est amoureux de la manucure de la Venus de Milo ....

Hippocrate à découverts les quatre « humeurs » : Bilis :le feu, Atrabilis :la terre, Sang : l’air, et Petuita :l’eau .Une petite cuillerée de bille empoisonne un pot de miel, tandis qu’une petite cuillerée de miel