La peinture comme espace mental. Entrer dans la peinture, celle de Sigrid Gloerfelt, est un vertige vrai. La peinture reprend un sens oublié, comme seule solution,le sens de l’écriture tendue et matiérée, elle possède des textures qu’elle recrée en des éléments plastiques d’ordre des anciens mythes arabes, ou même égyptien, le secret de tombes, de bandelettes qui couvrent, de caches translucides, d’erratiques ombres élancées vers un tunnel distant. Où vont-elles ?.