Ana Maria Rueda Cette Artiste colombiene, qui à fait ses études en France, travaille avec le feu, et fait feux de tous les matériaux que sa flamme touche. Sur la toile, le bois, le papier, le métal, c’est le médium dont la plasticienne se sert pour trouver son langage, élément vorace qu’il faut bien maîtriser pour ne pas ruiner tous ses efforts. D’où lui vient se « penchant » ? De rituels anciens, de jeux de l’enfance ? D’une disposition intellectuelle, de son bagage culturel ? L’œuvre est là, et sa réponse aussi, moi qui possède quatre papiers « de feu » le ressenti je le connais, c’est un sentiment visuel de disparition, finement éphémère qui me dépasse. Peintre des éléments, travaillant et se servant de tous les éléments, terre, eau... Il me vient à l’esprit Rouault et ses « autodafés », le peintre s’y est livré, à plusieurs reprisses. Ana Maria Rueda, force la nature avec des outils qui serviraient plutôt a des offrandes païennes, o sacrifices anciens,
Tiphaine
ANA MARIA RUEDA
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